J'ai bien raison de pas aimer les gens
2 we de suite pourris. Enfin, pas tout le temps, mais quand même.
Le 1er, on part chez les potes de l'escrimeur, potes que j'aime particulièrement, vaut mieux puisqu'on les voit souvent. En fait, l'escrimeur, ce pote et un 3e forme un des clans de l'escrimeur (il en a plein, du taf, du quebec, du sénégal, et gnagnagna). Il ya fête prévue, très bien, et le 3e pote arrive avec sa nana, ils sont ensemble depuis 8 ans, la nana est femme au foyer avec 4 mômes, mais elle est très "je me defonçais quand j'étais jeune, ah ce que j'ai pu en faire des conneries, et je connais tout sur tout".
Soirée sympa, bon, un gros boeuf est là, mais je l'évite intelligemment. La nana aux mômes, faisant partie de fait du triumvirat, très peremptoire (je HAIS ces personnes), se pose près de moi et commence à m'entreprendre. " Il me semble que tu m'aimes pas, tu as dis des choses sur nous qui nous ont fait tilter [je m'esbaudissais de leur baraque, enorme, ils vivent sur le fric du frere, tres riche], on t'a testé, on a trouvé que tu n'étais pas super pour l'escrimeur, il nous a ramené des déesses, intelligentes, belles, on se demande ce qu'il te trouve".
1er round. Je m'excuse pour mes remarques sur leur fric, et reste comme deux ronds de flanc pour le reste. Elle est malade cette nana?
Puis cette conne me demande ce que je fais (pendant mon chomage), si je vois du monde, me demande de lui parler, de me confier à elle, j'ai en effet besoin d'une confidente (? je t'emmerde!), vu que je ne fais rien (prends ça dans la gueule), et elle pense etre la bonne personne.
Elle s'étonne que je craque (oui, j'étais à fleur de peau, SPM, et j'ai chialé quand elle m'a parlé de mes non activités), et je lui réponds, avec force, que je ne me confie pas, un point c'est tout, que je suis comme ça et que c'est pas elle qui va me changer. Je lui ai même pas dit que, avec ses manières agressives et stupides, les confidences, elle peut se les mettre au cul.
Je vous dis pas le lendemain matin, je lui ai pas adressé la parole. Elle va attendre pour me revoir cette conne. L'escrimeur ne veut pas s'en meler, je comprends.
2e we, fete chez un collegue que j'aime beaucoup de l'escrimeur. Ce con me fait déjà poireauter 3/4 d'heure sous la pluie, il n'a aps vu mon sms lui indiquant mon arrivée au métro. J'ai envie de lui retrourner une claque.
Bon, soirée, bien, tout le monde par terre (ti punch à gogo). On est les derniers, Ced ne veut pas dormir chez le pote, il est quand meme 5h, mais ses parents nous "attendent". Moi aucune envie de m'y pointer pour un petit dej beurk. Ce con insiste on y va, et je commet l'erreur de dire que ses parents on les voit tout le temps, et que lui ne voit pas les miens (ce qui est vrai, mais bon, on s'en fout).
Début d'une très sérieuse engueulade, il me plante sous un abri bus (faut dire que je suis hors de moi), se casse et...me laisse me dépatouiller. Je ne sais pas où je suis, (sauf que c'est un peu chaud), les mecs rodent, en fait un tres sympa me remontera le moral (merci hakim), heureusement que je connais 3 mots d'arabe, ils en sont tout contents.
Je retel à l'escrimeur, qui vient me chercher. On rentre, très abattus, soirée de merde, et quelle engueulade de cons (merci d'éviter les comm genre "ah l'alcool", on boit souvent sans ce genre de désagréments). J'ai l'impresion d'avoir revecu une soirée "homme des bois", ça me flingue.
Enfin, bon, il s'excuse, on se rabiboche, mais voilà, ces temps ci, c'est pas ça. Il en a marre du taf, peut etre de mon inactivité, je sais pas, mais je ne veux pas me faire ses sautes d'humeur ça non.
A part ça, j'ai gardé les momes de mes soeurs, crevant, j'ai fini ma formation création d'entreprise (la conne ne savait pas écrire languedoc roussillon, elle l'epellait "Croussillon', sic!), je repeins, c'est pas mal, et toujours je lis.
Mais je me demande si j'aurais pas mieux fait d'aller au we rdjiste.
Bises les gens (que j'aime).
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