putain de bordel à couilles.
Putain faich, j'en suis à 3 couches sur mon tshirt. Chauffage coupé, 13° à l'hombre (qui n'est pas chaud ces temps ci), on se gele les coucougnes. Fait meilleur dehors que dedans. La routine des journées pese un peu, c'est chiant, mais bon, wait and see, l'année prochaine sera explosive ou ne sera pas.
L'escrimeur sombre dans ces putains d'audits et de budgets, ça le rend pas heureux ça non. Comme je le comprends.
On se calfeutre, je m'auto pieddansleculise ne serait ce que pour faire la sacro sainte balade du rejeton (on en discutait avec ma copine mere aussi: rien de plus chiant, barbant, pénible, gavant, que la sortie en poussette putain de merde. Et encore moi j'ai le jardin, elle se cogne le square avec ticket pour le toboggan). Je me fais quant à moi la Gaaaare: haut lieu de vénération pour attila, ben tiens ya des trains, des bus, des 4X4, des camions, des gens, et des boulangeries. Rien à battre de la nature, veut du mécano. Note j'aime bien, moi je mate les gens (non pas les mecs), lui se prosterne devant le Saint RER. Bon le jardin est top et à portée de main: dissection des vers, des fourmis, des gendarmes (putain pourquoi ça s'appelle gendarme cte bestiole toujours à s'accoupler?). Monsieur attends patiemment que les groseilles les framboises le raisin mûrissent parce que là "c'est pas muhhre, ça pique".
Ah aussi, bizarrement, la chair de ma chair, mon fils ma bataille, la prunelle de mes yeux, mon petitoune, bref le môme, sait parfaitement dire "Merde". Me demande de qui il tient.
Partouze de gendarmes, dégueulasse non? Comment un enfant peut il ne pas etre traumatisé apres ça, saint Freud?
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