Bon, c'est bizarre mes (au pluriel ah ah je

Bon, c'est bizarre mes (au pluriel ah ah je rigole) n'apparaissent pas.
Je suis super malade: grippe et bronchite, evidemment depuis ce we, mais arrétée par le medecin depuis hier lundi. Donc pas de taf today. En bonne leche cul j'ai tel hier et ce matin au taf, je suis trop bonne (faut savoir que certaines nanas se paient 2 semaines de congés sous de fallacieux pretextes). La secrétaire m'a carrément dit "ne viens pas demain".
J'ai une toux de fumeuse (tiens c'est etrange). Faudrait vraiment que je me calme à ce niveau et au niveau alcool aussi...(ce que ça détend le soir apres le taf le petit etc;).

Sinon, j'ai toujours la joie en moi. Oui, entre autre parce que je sors la tête du cercle vicieux mère=pas femme. Eh oui, au taf un petit gars (bon, heureusement le plus vieux des collègues), qui me fait rire (et quand on rit...)veut m'inviter chez lui tranquillou. Grande connivence avec lui, on discute enormément cul. Mais bon, les pti jeunes moi...

Par contre grand plaisir pour mon égo un peu écorché: mon ancien pote, revu il y a peu et que je croyais insensible à mon esprit acéré, m'a écrit un charmant mail. Entre autre" la finesse se traduit par l'intelligence de la pensée, la culture et l'humour et ça tombe bien, je possède les trois". Il me reparle également de cette partie à 3 qu'on avait faite avec lui, unique fois à son grand regret. Et enfin, il trouve "que je le fais rire et que pour lui ça veut dire beaucoup" (ben oui moi aussi). Et donc veut me revoir. Héhé. Alors evidemment j'en ai parlé à l'escrimeur (enfin ptet pas les détails me souviens plus), qui aussi sec a voulu "faire pipi sur son territoire". Cad que, comme diraient mes poétiques lycéens, j'ai pris grave. A réitérer donc.

Je reverrais cet ancien pote, après les vacances (là trop malade), et je pense sincérement ne pas faire de conneries: je l'aime ce grand con d'escrimeur. Même tirant la tronche le matin. Mais c'est chouette de savoir qu'on plait encore (en vieille radasse que je suis).

A part ça attila fait rien que d'évoluer. Epuisant. Et marrant à suivre...